Atelier Danse et Gestalt – Explorer le mouvement et la conscience corporelle

Une journée pour habiter pleinement son corps

La danse est un langage du vivant. Elle relie le corps et l’esprit, le dedans et le dehors, le mouvement et le silence.
Le temps d’une journée, je vous propose d’explorer ce lieu de rencontre entre Gestalt-thérapie et danse libre, pour goûter à une autre manière d’être en relation avec soi, les autres et le monde.

Il ne s’agit pas d’apprendre à danser, mais de laisser le mouvement advenir — celui qui naît du souffle, du ressenti, de la présence.
À travers la danse, le corps devient un partenaire de dialogue : il révèle, il exprime, il transforme.
En Gestalt, nous appelons cela le contact : cette expérience vivante où quelque chose de neuf peut se créer.

Une invitation à sentir, à se relier, à respirer

Cette journée sera rythmée par différents temps :

• des mouvements guidés pour éveiller la conscience corporelle,

• des explorations dansées individuelles et en groupe,

• des moments d’intégration (verbalisation, partage, respiration).

L’intention n’est pas la performance, mais la présence à soi : sentir ce qui vit, accueillir ce qui bouge, écouter ce qui se tait.
La danse permet d’élargir la conscience du corps et de soutenir le processus naturel d’ajustement que décrit la Gestalt.
Quand le mouvement retrouve sa fluidité, quelque chose en nous respire plus grand.

Pour qui ?

Cet atelier s’adresse à toute personne curieuse d’explorer le lien entre corps, émotion et présence, sans prérequis de danse ni d’expérience thérapeutique.
Il s’agit d’un espace bienveillant, ouvert à la découverte, où chacun peut avancer à son rythme.

Informations pratiques

🕒 Horaires : 10h – 18h
📍 Lieu : (à préciser)
💰 Tarif : 90 euros
👣 Tenue conseillée : confortable, favorisant le mouvement.
Un temps de repas partagé est prévu sur place.

Danser vers la présence

« Danser, c’est laisser le corps dire ce que les mots ne savent pas dire. »

La danse nous apprend à écouter plutôt qu’à chercher, à sentir plutôt qu’à penser.
Elle ouvre un espace de paix où l’on peut enfin se rencontrer — vivant, mouvant, imparfait, humain.